Indication(s) grammaticale(s)
Définition 1.
| Usage(s)
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Scientifique, Grand public
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| Source(s)
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Développé par Bakour Chafik
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| Définition
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L'épargne est une partie ou une fraction du revenu, du salaire non consommé dans l'immédiat. Cette notion peut être utilisée soit au niveau des individus, soit au niveau du pays pour désigner l'épargne nationale qui inclut l'épargne des ménages, des entreprises et des administrations.
L'épargne peut prendre plusieurs formes, soit liquide, financière (placement dans des actifs financiers ou des valeurs mobiliers), ou autre (stock)...
J.M.Keynes avait traité la question de l'épargne surtout sous sa forme monnaie et avait expliqué les raisons et motifs qui poussent les ménages à thésauriser pour faire face aux imprévus de l'avenir (motif de précaution).
Keynes n'a pas oublié l'effet de l'inflation sur l'épargne en terme de valeur de la monnaie et de pouvoir d'achat; ici l'or par exemple peut faire l'objet d'une épargne qui est sûr qui garde sa vraie valeur.
Les trois classes de la société selon la théorie keynésienne illustrent un bon exemple de l'effet de l'épargne sur le circuit économique; en effet c'est la classe moyenne qui est considérée comme la colonne vertébrale de l'économie qui peut à la fois consommer une partie de leurs salaires et épargner une partie, par contre la classe pauvre consomme la totalité de leurs salaires, et la classe riche ne change pas ses habitudes de consommation.
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