« Carte mentale » : différence entre les versions
De Wiktionnaire-SHS
(Page créée avec « {{Définition |Auteur=Nadia Kaaouas, Sabrina Mazigh, Daoud Knioui, Azza Chaari |discipline=Géographie, Psychologie |Source=Rowntree, Bob, (1997). « Les cartes mentales, ... ») |
Aucun résumé des modifications |
||
| Ligne 3 : | Ligne 3 : | ||
|discipline=Géographie, Psychologie | |discipline=Géographie, Psychologie | ||
|Source=Rowntree, Bob, (1997). « Les cartes mentales, outil géographique pour la connaissance urbaine. Le cas d'Angers (Maine-et-Loire) », In : n°176, Octobre-Décembre 1997, pp. 585-604 | |Source=Rowntree, Bob, (1997). « Les cartes mentales, outil géographique pour la connaissance urbaine. Le cas d'Angers (Maine-et-Loire) », In : n°176, Octobre-Décembre 1997, pp. 585-604 | ||
|Définition=Est une technique graphique développée premièrement par la géographie vers les années 1960 (Kevin Lynch) avec le courant de la « géographie de la perception » et deuxièmement par la psychologie cognitive en 1970. Elle consiste à faire le recueil des données (représentations spatiales ou cognitives qu’un individu/groupe se fait de leur environnement) et les transcrire sous une forme cartographique. Cette représentation mentale de l’espace est considérée comme une réalité subjective de l’espace. Elle aide le chercheur à mieux cerner, organiser et avoir une vision détaillée et d’ensemble d’un sujet précis. Explicitement, « elle permets | |Définition=Est une technique graphique développée premièrement par la géographie vers les années 1960 (Kevin Lynch) avec le courant de la « géographie de la perception » et deuxièmement par la psychologie cognitive en 1970. Elle consiste à faire le recueil des données (représentations spatiales ou cognitives qu’un individu/groupe se fait de leur environnement) et les transcrire sous une forme cartographique. Cette représentation mentale de l’espace est considérée comme une réalité subjective de l’espace. Elle aide le chercheur à mieux cerner, organiser et avoir une vision détaillée et d’ensemble d’un sujet précis. Explicitement, « elle permets (…) d’acquérir, de coder, de stocker, de revenir sur, de décoder, de manipuler de l’information concernant l’environnement spatial » (p.586) | ||
|Traduction arabe=خريطة ذهنية | |Traduction arabe=خريطة ذهنية | ||
|Traduction Amazigh=takaṛḍa n twngimt | |Traduction Amazigh=takaṛḍa n twngimt | ||
}} | }} | ||
Version actuelle datée du 3 mars 2022 à 10:20
Définition 1.
| Auteur(s) | Nadia Kaaouas, Sabrina Mazigh, Daoud Knioui, Azza Chaari |
|---|
| Discipline(s) | Géographie, Psychologie |
|---|
| Source(s) | Rowntree, Bob, (1997). « Les cartes mentales, outil géographique pour la connaissance urbaine. Le cas d'Angers (Maine-et-Loire) », In : n°176, Octobre-Décembre 1997, pp. 585-604 |
|---|
| Définition | Est une technique graphique développée premièrement par la géographie vers les années 1960 (Kevin Lynch) avec le courant de la « géographie de la perception » et deuxièmement par la psychologie cognitive en 1970. Elle consiste à faire le recueil des données (représentations spatiales ou cognitives qu’un individu/groupe se fait de leur environnement) et les transcrire sous une forme cartographique. Cette représentation mentale de l’espace est considérée comme une réalité subjective de l’espace. Elle aide le chercheur à mieux cerner, organiser et avoir une vision détaillée et d’ensemble d’un sujet précis. Explicitement, « elle permets (…) d’acquérir, de coder, de stocker, de revenir sur, de décoder, de manipuler de l’information concernant l’environnement spatial » (p.586) |
|---|
| Traduction(s) Arabe | خريطة ذهنية |
|---|
| Traduction(s) Amazigh | takaṛḍa n twngimt |
|---|
