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Version du 8 juillet 2015 à 15:29

Etymologie

Etymologie etymo


Indication(s) grammaticale(s)

Catégorie lexicale adverbe
Genre Masculin
Validée Oui


Ecole(s), courant(s) Bourdieu
Région(s) Maghreb
Discipline(s) Sociologie, Philosophie



Définition dedinition1







Discipline(s) Histoire, Economie



Définition définition2
Synonyme(s) syn1




Traduction(s) Arabe تطابق
Exemple(s) ici exemples
Discipline(s) Sociologie









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 DéfinitionDiscipline
AmesiɣremDi tmettiyin tiqburin
igrawen (takatin
iderman
tiqbilin) bḍan ger yimesɣermen d yimgalaten. Imesɣermen d igrawen yezgan s tmezduɣt deg yiwen n umkan. Asiɣrem yebda uqbel ad d-tennulfu tfellaḥt; takatin d iderman d teqbilin ssaskren azdaɣ deg yimukan i deg ara sen-tishil temɛict. Seg(mi) d-tennulfa tfellaḥt
tunt n yimsiɣermen tennerna deg waṭas
tmettiyin tiqburin.
Histoire
Anthropologie
AmgalatD igrawen (tiqbilin
iderman) ur nezgi ara s tmezduɣt seg yiwen n umakan. Teddun seg umakan ɣer wayeḍ
ttnadin ɣef wayen ara ččen d wanda ara ddarin. Di tmettiyein tiqburin
teg°ti n yigrawen d imgalaten. Asmi i d-tennulfa tfellaḥt
tunt-nsen tuder (s w)aṭas.
Histoire
Anthropologie
Amnid amzraytararit n imzza izrin isɣawsa s tuddma (wuṭuf) n yan umnid amzray. tamggarut-a da tettr armas aṣbḥan n unmzruy sg tannayt
n umnaḍ anamun
adlsan d udmsan Cette dernière impose la bonne compréhension de l’historien du point de vue
du contexte social
culturel et économique n wuggidn iddrn kra n uzmz amzray istin. tasmzruyt-a da ttajja mnnaw n tmskarin d irfsan (tuggi) ad gin win snniyt
ilin anamk. anamk .
Histoire
Archives ouvertesUne archive ouverte est une plateforme (également appelé : entrepôt virtuel) dans lequel les chercheurs dépose ou auto-archive et rendent accessible gratuitement leurs travaux scientifiques ( articles
thèse
actes de conférence
de colloque...etc). L'objectif principal de ces archives est de favoriser la diffusion libre du savoir au grand public avec un accès sans restriction.
Sociologie
Histoire
Economie
Géographie
Sciences du langage
Ethnologie
Droit
Archéologie
Sciences de l'éducation
Démographie
Anthropologie
Sciences politiques
Architecture
Psychologie
Arcif ṛẓmnarcif ṛẓmn iga yat tṛiṛḍt ( da as awd qqarn : aḥanu amarur) nna g srusn twuriwin nnsn timassanin (imnnitn
ddukṭuṛat
igitn n tinawin
n imgrawn
...) rẓmn akccum sarsnt fabuṛ (ajjn tnt baṭṭl). awttas adslan warcifn-a ad awsn g uzuzzr ilelli n tussna i ugdud axatar s yidf war anmri.
Sociologie
Histoire
Géographie
Sciences du langage
Ethnologie
Droit
Archéologie
Sciences de l'éducation
Démographie
Anthropologie
Sciences politiques
Architecture
Philosophie
Psychologie
Asemḍal ameqqranD timeqbert tameqqrant ideg llant aṭas n tmeḍlin. Timeḍlin-agi bnant d iṣuken imeqqranen
zemrent ad ilint ddaw tmurt
zemrent ad d-zgent nnig tmurt (s ufella). Isemḍal at iṣuken
mmeẓlint yis-sen tɣermiwin timazrayin. Isemḍal n udatmezruy ur deg-sen ara iṣuken.
Histoire
Anthropologie
Asenfel adelsanD abeddel n yizenziɣen idelsanen di tmetti : tettbeddil tmuɣli i yes-s ttwalin yimdanen agama neɣ tadamsa neɣ tamettant. Ttbeddilen daɣen wazalen i yes-s ttamnen d wayen ssemnafen. Di teg°ti
asenfel adelsan yezmer ad d-yekk : a. seg temlilit n yiɣerfan
yal aɣref ad yawi kra sɣur wayeḍ
b. seg usenfel agensan di tmetti.
Histoire
Anthropologie
AsiɣremD azdaɣ imezgi deg yiwen n umkan.Histoire
Anthropologie
AsneẓrufD abeddel n unezwu di kra n temnaḍin n umaḍal; uɣalent temnaḍin-agi urtent-id-yettaweḍ ara ugeffur
ikcem-itent uɣurar. Simal ttɣren deg-sent isaffen d tliwa
negren yimɣan Yettuɣal wakal-nsent d aqerqar
ttɣimin (deg-s) ala idɣaɣen
tteftutusen d ijdi.
Histoire
AzwermezruyD imir yekkan ger udatmezruy d umezruy. Yebda asmi ssawḍen yilsan ssufɣen-d uzzal wannas (cuivre) seg wakal. Yemda asmi d-snulfan tira. Yeṭṭef ger kraḍ n yigiman n yiseggasen dat talalit n Ɛisa armi d igim n yiseggasen dat talalit n Ɛisa.Histoire
Aẓkaw« aẓkaw» iga irm nna d illwan g tizwiri n tasut tiss sant id mraw
s uẓlay g 1910 fara d yili anamk n tgrumma n tẓuṛiwin
teknikin d awd tussniwin yamun g usmsisi d uskar i isayrarn iɣrmann nil ka n isfka afad ad yili ufgan g uṭṭṛḥ d tsirikt (abṛṛɛ
anɛnɛ
asmuzzu
tadawit)
iks i twnaḍt (Le Grand Robert).

kigan n isnmal ayd ittufkan i unamk n yirm-a : nil Françoise Choay issfra s imki xf tlalit n urmmus-i : « ɣur tiyyira n tasut tiss tẓa d mraw
anɣal n wamun amguran isllwa antay n yan iẓli nna ismziriyn (isnḥyan
ibṭṭun gr ) tiẓuṛiwin tiɣrmanin timzwura s ugama awngim d uzɣan d s usuɣn amassan »
iga uẓkaw : - « taẓuṛi n usmsisi d usuds n iɣrman » (G.D.L)

- « taẓuṛi n tussut n usayrar aɣrman nɣ adɣaran ( ad issu tuṣkawin n uzdduɣ
n twuri
n wurar
s uẓṭṭan n unyuddu d umrara (ammskal )
afad ad nlkm tawuri iẓiln d ad nsɣudu imyassatn inamunn». (D.G.L) (D.U.A)
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CapitalCe terme a été utilisé par différentes disciplines allant de la philosophie à l'économie en passant par la sociologie. Étymologiquement provient du mot grecque caput: la tête. Au sens courant le capital désigne des biens accumulés par un individu ou une entreprise et qui entrent dans le patrimoine (logement
actions
machines…).

En économie
c’est un stock d’actifs générateur de flux de revenus. En sociologie
Karl Marx essaye d'expliquer un phénomène social de la lutte des classes où le capital constitue l'élément fondamental dans tout mode de production capitaliste caractérisé par l'exploitation du prolétariat par la bourgeoisie. Il distingue trois formes principales du capital : le capital argent(A)
le capital marchandise (M) et le capital productif (P). La société capitaliste se structure donc autour de ceux qui possèdent le capital et ceux qui ne possèdent que leur force de travail. Pierre Bourdieu élargit la notion de capital à un ensemble de ressources utilisables et mobilisables par un individu du fait de sa position dans l’espace social. Il distingue plusieurs formes du capital : le capital économique
le capital culturel
le capital social et le capital symbolique. L’espace social se structure donc de manière pluridimensionnelle car un individu peut avoir des dotations en capital différentes : par exemple
un comédien peut être fortement doté en capital culturel et faiblement doté en capital économique. L’analyse des réseaux sociaux fait aussi une part importante à la notion de capital social comme ressource mobilisable
mais à travers les liens tissés par le réseau. Par exemple
l’obtention d’un emploi peut s’expliquer par l’utilisation des relations mobilisées à travers le réseau (le patron d’un ami de la boulangère d’un client chômeur lui propose un emploi).
Le terme capital est polysémique. En fonction de son contexte d’utilisation
il est doté de significations différentes. – au sens juridique et comptable
le capital est le capital social de l’entreprise qui figure à l’actif de son bilan ; – pour un individu le capital est un ensemble d’actifs réels et financiers qui sont sources de revenu (intérêt
profit
dividende
loyer). Il est alors synonyme de patrimoine et celui-ci peut être élargi au capital humain ; – dans la Comptabilité nationale
le capital est un stock de biens durables qui résulte des flux successifs d’investissement
mais aussi du déclassement d’une partie de ce stock du fait de l’usure et de l’obsolescence. Dans le langage courant
le capital est impro- Dans le langage courant
le capital est impro- Dans le langage improprement réduit à des actifs financiers voire à des liquidités (en ce sens
on parlera d’un individu qui dispose de capitaux abondants pour désigner un agent économique qui a la possibilité de réaliser des placements importants). ➪ Ne pas confondre avec l’utilisation du concept de Ne pas confondre avec capital en sociologie (par exemple le concept de capital social chez P. Bourdieu ou J. Coleman) et avec le capital social en économie.
Le capital est l'une des notions de l'économie politique spécifiquement avec Adam Smith mais on le trouve dans d'autres branches des sciences économiques telles que: le finance
la comptabilité
la sociologie et la philosophie. Il se définit comme un ensemble de biens matériels et monétaires issues du travail qui peuvent être amasser avec le temps et avoir la capacité de produire de nouveaux revenus. Selon Karl Marx
il existe deux classes sociales opposées
à savoir :

1. les bourgeois comme catégorie sociale ayant les moyens de production ;

2. les prolétaires (travailleurs) une autre catégorie qui travaillent pour pouvoir subvenir à leurs besoins (manger
dormir
se loger
etc).

Selon la théorie de Pierre Bourdieu
il existe quatre capitaux :

1. le capital économique ;

2. le capital culturel ;

3. le capital social ;

4. le capital symbolique.
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ChômageLe chômage fait référence à toute personne sans emploi et qui est toujours à sa recherche
le terme comme on le connaît actuellement s'est développé au fur et à mesure après la révolution industrielle où le système de production a changé. Le chômage est à la fois un phénomène économique
social et politique puisqu'il a une relation directe et étroite avec la consommation
le niveau de vie
la pauvreté et les inégalités ce qui demande l'intervention des pouvoirs publics et privés pour la mise en place des politiques efficaces pour réduire le chômage et créer de l'emploi.

un chômeur est une personne sans emploi qui est à la recherche de du travail
on peut le classer ici dans la population active. Le chômage prend plusieurs formes
on cite ici à titre d'exemple le chômage de très courte durée qui est de moins d'un mois
et celui de longue durée de douze moi ou plus. Au Maroc
le haut commissariat au plan a définit le chômage comme toute personne âgée de 15 ans et plus
qui n'a pas une activité professionnelle et qui est à la recherche de l'emploi. L'évolution du chômage entre deux périodes ou entre plusieurs périodes nous donne une idée générale sur la tendance du marché de l'emploi
cette variation qui est en générale négative qui représente le taux de chômage est mesuré selon l'institut national de la statistique et des études économiques en France comme étant le pourcentage de chômeurs dans la population active (actifs occupés + chômeurs)
d'où on peut calculer le taux de chômage par âge en mettant en rapport les chômeurs d'une classe d'âge avec les actifs de cette classe d'âge. De la même manière se calculent des taux de chômage par sexe
par région
par nationalité
par niveau de diplôme
etc. pour le bureau international de travail
Le taux de chômage au sens du Bureau international du travail (BIT) est la proportion du nombre de chômeurs au sens du BIT dans la population active au sens du BIT. Pour donner un exemple concret avec des chiffres et des statistiques
pour le cas du Maroc
Entre le deuxième trimestre de l’année 2016 et la même période de 2017
l’économie marocaine a créé 74.000 postes d’emploi
12.000 en milieu urbain et 62.000 en milieu rural
contre une perte de 26.000 une année auparavant. L’agriculture
forêt et pêche a créé 52.000 emplois
les services 19.000
les BTP 7.000 alors que le secteur de l’ industrie y compris l'artisanat en a perdu 4.000. Avec un accroissement de la population active de 107.000 personnes
le nombre de chômeurs s’est accru de 33.000 personnes au niveau national portant ainsi l’effectif total des chômeurs à 1.123.000 personnes. Le milieu urbain a connu une hausse de 45.000 personnes et le milieu rural une baisse de 12.000. Le taux de chômage est passé ainsi de 9
1% à 9
3% au niveau national et de 13
4% à 14% en milieu urbain. En milieu rural
ce taux a baissé de 3
5% à 3
2%. Le chômage reste élevé parmi les femmes
passant de 12
7% à 13
2%
parmi les diplômés
de 16
3% à 17% et parmi les jeunes âgés de 15 à 24 ans
de 23
2% à 23
5%.

La population sous-employée s’est établie à 1.086.000 personnes. Le taux de sous-emploi s’est accru de 0
1 point
par rapport au deuxième trimestre de 2016
passant de 9
8% à 9
9% au niveau national ; de 9% à 9
1% en milieu urbain et de 10
7% à 10
8% en milieu rural.
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Climat d'investissement et climat des affairesL’approche conventionnelle de la théorie de l’investissement stipule que
de manière générale
les rendements marginaux attendus d’un investissement tendent à diminuer à un moment donné
lorsque de nouveaux entrants entrent dans un marché donné et commencent à évincer les investisseurs actuels en effectuant de nouveaux investissements. Cela fait référence à la notion de périssabilité de l’investissement lorsque les intrants demeurent inchangés (technologie
etc.).

En revanche
le climat des affaires fait référence à une notion beaucoup plus vaste
évolutive et dynamique
qui peut exercer un effet positif ou négatif sur la performance
engendrant la prospérité ou la stagnation. La réflexion qui précède témoigne alors d’une difficulté à disposer d’une définition stable et homogène pour définir le plus précisément possible le climat des affaires. Nous pouvons donc partir de la définition de Stern (2002) qui avance que le climat de l’investissement est constitué de l’environnement politique
institutionnel et comportemental qui influencent les rendements et les risques associés à un investissement d’une firme. La notion de climat de l’investissement fait donc référence aux institutions
aux politiques publiques
à la stabilité macroéconomique et à la qualité des infrastructures
éléments qui affectent non seulement le niveau d’investissement en capital mais également la productivité totale des facteurs de production
et la volonté pour la firme de réaliser des investissements dans le futur. Le climat d’investissement et l’environnement des affaires sont alors des concepts contemporains qui peuvent être définis de plusieurs façons. La Banque Mondiale (2005)
définit le climat d’investissement comme l’ensemble des facteurs propres à la localisation de l’entreprise
qui influent sur les opportunités de marché ou le désir des entreprises d’investir à des fins productives
de créer des emplois et de développer leurs activités. Cela inclut: stabilité et sécurité
réglementation et fiscalité
finances et infrastructure
main d’œuvre et marché du travail. Cette définition est développée de façon plus détaillée par la Banque Mondiale et la Société Financière Internationale dans le Doing Business. L’Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE) (2006) dans son cadre d'action pour l'investissement
identifie dix domaines politiques qui influent directement sur l’investissement: les politiques d’investissement
la promotion et l’aide à l’investissement
la politique commerciale
la politique de la concurrence
la politique fiscale
la gouvernance d’entreprise
le comportement responsable des entreprises
les ressources humaines
le développement du secteur financier et l’infrastructure et la gouvernance publique. En outre
le cadre d’action de l’OCDE reconnaît que les enjeux concernant l’environnement naturel
l’énergie
le développement rural
l’innovation
l’entreprenariat des femmes et l’équilibre des genres influent également sur l’environnement des affaires. TrustAfrica
le Centre de Recherches pour le Développement International (CRDI) et la Fondation pour l’entreprise et le développement durable (FSED) dans le cadre du « Fond de Recherche sur le Climat d’Investissement et l’Environnement des Affaires (CIEA) » (2007) proposent deux définitions fonctionnelles : le climat d’investissement comme l’ensemble des facteurs macro-économiques qui déterminent l’attractivité d’un pays
d’une région ou du continent
aux entrepreneurs et l’environnement des affaires comme l’ensemble des facteurs micro-économiques qui influencent la gestion des entreprises et les conditions d’existence des entreprises. En 2008
le comité des bailleurs pour le développement des entreprises (DCED) définit l’environnement des affaires comme l’ensemble des conditions politiques
légales
institutionnelles et réglementaires qui régissent les activités des entreprises. Il s’agit d’un sous-ensemble du climat d’investissement comprenant les mcanismes administratifs et dispositifs de mise en application par lesquels la politique du gouvernement est mise en œuvre
ainsi que les accords institutionnels qui influencent la manière d’agir des acteurs clés (agences gouvernementales
autorités de réglementation
organisations professionnelles). Au Maroc
la Stratégie de développement du climat des affaires (SDCA 2011) issue du Programme MENA-OCDE a développé un outil d’évaluation de l’environnement des affaires sur la base de 12 dimensions à savoir: la politique et la promotion de l'investissement
la politique de privatisation et les partenariats public-privé
la politique et l’administration fiscale
la politique commerciale et la facilitation des échanges commerciaux
les politiques pour de meilleures réglementations et procédures pour les entreprises
la politique et la promotion des petites et moyennes entreprises
la lutte contre la corruption
la gouvernance d'entreprise
le droit des affaires et la résolution des litiges commerciaux
l’infrastructure
le capital humain et l’accès au financement. En 2014
la Commission économique pour l’Afrique définit le climat des affaires comme l’environnement institutionnel du «business» dans un pays donné. La perception du climat des affaires par l’investisseur conditionne ses décisions d’investir ou pas. Sur le plan opérationnel
le climat des affaires se conçoit comme l’environnement politique
économique
institutionnel et comportemental
présent et futur
qui affecte la rentabilité et les risques associés aux investissements. Il englobe les coûts et risques afférents à une transaction donnée ainsi que les forces concurrentielles en jeu au sein de l’économie. Il s’agit des facteurs localisables qui créent un cadre favorable et qui incitent les firmes à investir
à créer les emplois et à croitre. Ainsi
le climat des affaires recouvre trois dimensions: Une dimension macroéconomique
qui est liée à la stabilité du cadre macroéconomique avec une capacité de résilience aux chocs endogènes et exogènes; Une dimension institutionnelle et de gouvernance
qui est liée à l’existence des lois et réglementation qui favorisent la protection des droits de propriété indispensables pour l’émergence et le développement d’un secteur privé dynamique; Et une dimension infrastructurelle
qui inclut l’accès aux infrastructures physiques (eau
énergie
routes
etc.)
financières et technologiques. Selon la Banque Mondiale (2015)
le climat des affaires est un ensemble de facteurs spécifiques à un pays qui exercent une influence plus ou moins forte sur les opportunités et incitatifs encourageant une firme à investir
créer des emplois et croître. Les politiques publiques
notamment
exercent une forte influence sur l’activité des firmes
à travers un ensemble d’effets externes
qui peuvent être positifs ou négatifs. Dans le dernier rapport de la Banque Mondiale Doing Business 2016: Mesure de la qualité et de l'efficience du cadre réglementaire évalue les réglementations concernant 11 domaines du cycle de vie d’une entreprise. Dix de ces domaines sont inclus dans le classement 2016 sur la facilité de faire des affaires: création d'entreprise
octroi de permis de construire
raccordement à l'électricité
transfert de propriété
obtention de prêts
protection des investisseurs
paiement des impôts
commerce transfrontalier
exécution des contrats et règlement de l’insolvabilité. Le rapport mesure également la régulation du marché du travail
ce qui n'est pas inclus cette année. L’étude de cas sous-jacente porte à présent sur le principal produit d’exportation de chaque économie
sur un même produit standard courant manufacturé (pièces automobiles) pour le produit d’importation et sur ses principaux partenaires commerciaux pour chacun des produits d’exportation et d’importation. Concernant les indicateurs d’évaluation retenus par le Forum économique de DAVOS
l’appréciation des institutions s’appuie sur 21 indicateurs décrivant les institutions publiques et les institutions privées sur les plans du droit de propriété
la protection de la propriété intellectuelle
l’éthique dans les affaires et la lutte contre la corruption
les influences indues
l’évaluation de l’inefficacité des services publics
la responsabilisation
l’efficience du marché des biens
les infrastructures
le niveau et l’utilisation de la technologie
l’appréciation du secteur financier: son développement et son efficacité
l’innovation et la sophistication des facteurs. L’efficacité
les performances ou les handicaps des secteurs de l’éducation
de la santé
de l’enseignement supérieur
du marché du travail sont également mesurés et notés
etc. La notation est en suite pondérée en fonction du niveau de développement du pays. Un pays développé dont les infrastructures de base ont atteint un niveau convenable est tenu de donner plus d’importance à la R&D et à l’innovation par l’affectation de ressources à ces activités
par contre
un pays en développement doit se préoccuper en premier lieu de ses infrastructures de base. La notation est donc relativisée en fonction du degré de développement du pays.

Quant aux critères retenus par l’IMD (International Institute Management Development Lausanne)
le climat des affaires est apprécié sur la base de 331 critères. L’indice IMD tente de cerner la compétitivité des nations à travers 4 facteurs de compétitivité qui intègrent une série d’indicateurs sur divers aspects d’une économie et ses institutions et ses comportements: les performances économiques (sur le plan macroéconomique
le commerce international
les investissements
notamment les IDE
l’emploi et les prix)
l’efficacité des institutions gouvernementales (Les finances publiques
la politique financière
le cadre institutionnel
la législation commerciale
le cadre social
la lutte contre la corruption…)
l’efficacité des entreprises (productivité et efficacité commerciales ; marché du travail
les finances
les pratiques de gestion
attitudes et valeurs) et les infrastructures (infrastructures de base et technologiques).
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Commissaire-priseur(nm) Représentation utilisé par Walras dans sa théorie de l’équilibre général afin d’illustrer le mécanisme d’équilibration par tâtonnement de l’offre et de la demande sur les différents marchés. Le commissaire-priseur se charge d’annoncer des prix
de le modifier tant que l’offre n’est pas égale à la demande
de communiquer les prix d’équilibre et d’organiser la distribution des biens échangés à ces prix. Paradoxalement
la main invisible
symbole du marché décentralisé est incarnée par un individu unique qui centralise les transactions
sans être rémunéré.
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